Macron, sitôt installé à l’Elysée, a nommé ministre de l’Éducation Nationale Jean-Michel Blanquer dont les orientations pour l’Ecole sont marquées du sceau libéral. Déjà, sous la présidence Sarkozy, le nouveau ministre avait mis en œuvre une politique de suppressions massives de postes et la suppression des IUFM laissant l’École exsangue. La boussole de ce gouvernent est de casser les cadres collectifs de protection et de renforcer l’autonomie. L’autonomie c’est trop souvent celle du chef d’établissement, ce qui accroît le nombre d’alertes des personnels en souffrance. Dans sa feuille de route, le nouveau ministre réaffirme la volonté d’octroyer une plus grande liberté aux collectivités territoriales... 

Lire la suite dans le 4 pages rentrée "Enseignement professionnel" de la CGT-Éduc'action  (Sept. 2017)