Soucieux de faire admettre la réforme des rythmes scolaires aux municipalités, le gouvernement avait prévu des mesures dérogatoires et transitoires concernant l’encadrement des activités périscolaires. Afin que cette réforme ne pèse pas trop financièrement sur les communes, un plan d’aide financier avait été instauré et le taux d’encadrement avait été modifié pour embaucher le moins de personnel possible. Ainsi, il était prévu un‐e animateur‐trice pour quatorze mineur‐es âgé‐es de moins de six ans et un‐e animateur-trice pour dix‐huit mineur‐es âgé‐es de six ans ou plus...

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